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 Toujours... Plus profondément... [Sauvetage / Solo / 2]
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Rowen
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MessageSujet: Re: Toujours... Plus profondément... [Sauvetage / Solo / 2]   Toujours... Plus profondément... [Sauvetage / Solo / 2] - Page 4 EmptyMar 18 Juil - 22:08
Mer Sans Fond  –  Trente-huitième Etage

Après la zone aux quarante-deux cinquièmes sûrs, une zone de guerre du passé, malheureusement. Sur la scène, se tenait désormais la paire liée par une tragédie nocturne appartenant au passé, et pourtant, continuant d'influencer le présent. Une sphère mémorielle, pour eux, voilà ce qu'était cet étage. Une odeur de brûlé. Raser le présent permettant le futur, afin de le remplacer par l'éternel passé de la Nuit se perpétuant sur les trois périodes de temps. Un Stalgamin femelle se promenait, en compagnie par son frère, un Ouisticram, tandis que deux Psytigri les épiaient au loin, en tant que farceurs de profession. Normal, pour des représentants de leur espèce, quoique, des préjugés ou autre stéréotypes en tout genre malsains restaient à éviter. Une enfantine machination se mit alors en place, Tic par Tic, ficelle par ficelle, astuce par astuce, et pour finir piège odorant par piège odorant, héhéhé. Le chaos leur restait toujours étranger. Doucement, le ciel s'assombrit. Aucun habitant du village n'y vit un signe annonciateur du désastre, ou quoi que ce soit de la sorte. … Dommage. Les arcs furent bandés, des flèches décochées, tandis que le quatuor subsistait dans son propre univers perdu, innocemment, insouciants, mais surtout, avant tout, ignorants. Au bord de la rivière, au-delà du royaume sec et aride des adultes. Se couper de cette illusion, quel plaisir simple et pourtant si profond... La fin ne fut point prévu, prédite, ou même préécoutée. Oh, oui, des ricochets. Hélio gagna, dépassant son précédent record en atteignant les treize rebonds dignes de ceux d'un Wailord, et surpassant largement tous ceux de n'importe quel Wailmer. Le flot de l'eau leur permettait de le contempler, tout en y jetant leurs désillusions en espérant que le débit les emporte assez rapidement pour qu'elles ne deviennent jamais de l'amertume. Provenant d'un peu plus haut dans le cours de la rivière, une substance noire monopolisa l'espace aquatique. Séléna en écarta son petit frère, jugeant que cette inconnue ne pouvait visiblement que prendre des valeurs de dangerosité  positives particulièrement élevées. Le singe des flammes, d'habitude exaspéré à l'idée que sa grande sœur puisse exercer une certaine forme d'autorité sur lui, ne put qu'être d'accord avec son acte. La Nuit à l'état liquide se moula en un être tristement célèbre. « Cet » Archéduc en particulièrement. Le chef de la Confrérie. Mort. Trépas. … Mais point le décès, huh. Fuir, fuir, celui qui dégageait une aura  à faire pâlir des Dracaufeu, parce que si une seule chose était certaine à son sujet, il s'agissait de son camp : celui leur désirant du mal. La guillotine du destin, sa chute ne pouvait être arrêtée une fois lancée. Cependant, trouver une ouverture, profiter d'une aide extérieure afin de s'en extirper... Restait parfaitement envisageable. A côté de la rivière, se trouvait une forêt, pleine de cachettes. Xythras et Zylphar avaient décidé de miser sur leur survie en constituant un groupe uni avec leurs amis. Quatre enfants, une abomination. Calcul des chances de victoire pour les deux camps... Résultat évident. Trop, même. Aucun modificateur n'allait pouvoir inverser la donne cela dit, ainsi... Couic. Nox n'allait point attendre qu'un miracle vienne le perturber dans sa tâche grandissante, teintant le monde de son abyssale noirceur. En vain, les frères protégèrent leur sœur. Transpercés, tous, ah, Lu La La, mélodie de la lune, mais où étais-tu donc pour ne pas être venue les sauver, Lu Lu La, hommage à ton nom, mais que faisais-tu donc pour ne pas être venue les empêcher de se faire brutalement envoyer dans ton ciel, huhuhu ♫ Une métaphore fit office de narration. Des corps inutilisables, alors... Un Germignon chromatique pleura des larmes de vigueur, la magie d'Ho-Oh. Des cailloux tombaux devinrent des avatars pouvant être utilisés en tant que corps, tandis que la première fratrie fut ressuscité sous apparence spectrale. Séléna, la Momartik. Hélio, le Lugulabre. Xythras, le Séléroc. Et pour finir, Zylphar, le Solaroc. Les éléments dans l'au-delà, et les pouvoirs psychiques dans la roche. Cependant... Il y eut un prix, celui de la Nuit. La malédiction faisait toujours effet. Deux seulement purent en être sauvés. Les deux premiers, les désormais missionnaires de la lune. Des rescapés du néant, alors que d'autres allaient devoir y chuter pour fort longtemps. Chaînes de la haine... S'il-vous-plaît... Un jour, sauriez-vous vous briser... ? Toujours... Cette naïveté, hein... La longue, longue quête, pour que le givre endorme à jamais l'obscurité de la chaleur du faux soleil. Certes, eux représentaient une fausse lune... Mais qu'importe. Aucune justification était nécessaire, après tout, seulement du soutien, et ce soutien, peut-être que dans ces cœurs creux, allait bien finir par en naître, en fleurir, en épanouir à l'intérieur... Tout ce que souhaitait mettre dans le vide pouvait l'être, en revanche, pour qu'il reste, renforcer l'étanchéité restait nécessaire, héhéhé. L'instant réduit au silence par l'ellipse, là-bas se trouvait d'autres éléments. Le consentement fut donné, alors... Aucune barrière ne se dressait face à l'acquisition de ces savoirs. Parce que les pensées n'étaient point un mystère comme les autres, ne devant pas nature être exposées ainsi à la vue de tous, pouvant se révéler être de fatales armes surtout pour ceux ignorant comment lire le mode d'emploi. Ecroule-toi, dernier rempart, et... Merci pour toutes ces années de bon et loyaux services...

« Le vide...
Je suis vide, alors suis-je le vide ?
Mon cœur résonne de bons sentiments...
… Seulement parce que son côté creux le permet.
La mélodie espérée n'existe en ces lieux qu'en arrière-plan.
Là, présente, et pourtant, complètement hors de portée.
Dans mes bras, elle glisse, sur les parois, elle est reflétée.
L'utopie est la plus grande sprinteuse au monde, ahahaha.
Je refuse cette défaite.
Bien que je m'y sois résignée.
Cette voix responsable de cette décision est moi.
Je ne daignerai l'écouter pour autant, n'en restant qu'un fragment.
Xythras.
Ton esprit n'a plus besoin de pétrifier pour éviter le malheur !
Regarde, admire, contemple !
Le Libérateur ne nous abandonnera pas.
Je suis en mesure de te le promettre.
Oh, oui, pourquoi puis-je l'affirmer.
Bien sûr.
Je le comprends.
Quand j'ai senti son cœur, je l'ai compris.
Sa blancheur.
Sa noblesse.
Son amour.
Lu La La, mélodie de la lune... ♫
Résonne, résonne donc.
Et, jusqu'à l'oméga...
… Je trouverai le moyen de t'attraper... »

- V (La lune de givre...)

Dans l'enfer transitoire, Séléna fut jetée dans cet océan d'hydrogène liquide, le même autrefois réservé à l'Evoli de la Cryozélite, celui expérimenté par Coeur Noble, tout du moins, une partie de leurs membres. Froid, froid, si froid... Une main... Une corde... Un poison... Quelque chose... Par pitié... Afin de briser ce huis-clos... Le loquet était plus tenace encore qu'un Méga-Galeking bercé dans une marmite de fer en accélérateurs de développement de statistiques... Le gel échoua à se geler lui-même, étant déjà le cas, et ne pouvant dépasser cette règle. Son souhait s'égara à force de percuter les barreaux de sa prison d'un éternel instant. Trouver de quoi l'aménager alors, pour qu'ici ne soit plus une prison. Oh, dans la version originale, cette idée ne fut point apporteée, à cause de la joie abattu dès l'alpha. Un piège fut construit, pièce par pièce, mécanisme par mécanisme, souvenir par souvenir, héhéhé, l'autre côté du farceur miroir d'hiver. Un piège Electromine, plus précisément. Tout faire exploser. La chaleur ainsi créée remplit le creux du noble petit cœur de la Momartik, revivre le passé, et y trouver la clé pour aussi sortir de sa malédiction le présent, le futur par la même occasion, montrant à la Nuit que face à un ferme espoir ses pouvoirs étaient inutiles, avec la lumière de ce Jour en particulier. Xythras, de son côté, s'empara de ses émotions d'autrefois, et suivit, ou plutôt épia sa meneuse, depuis l'autre côté du chemin, se rapprochant lentement d'elle. Retrouver la rivière désormais occupée par un fluide dorée, et rechercher les deux autres rois de ce paradis... Ensemble.

« Le vide...
Je suis vide, et pourtant, je suis plein.
Des émotions cristallisées.
Incapables de changer.
Forcer de vivre ce néant.
Tous les jours, souffrant.
Miner, en espérant qu'au fond se trouve l'utopie...
Pourtant, elle trouve toujours le moyen d'être plus profondément cachée.
Cette farceuse.
Héhéhé.
Je crois en ta victoire.
Je resterai à tes côtés.
Nous l'obtiendrons.
V + I = VI.
La merveilleuse équation nous liant.
Ecoute la voix au-delà.
Le vrai toi.
Tu n'as plus besoin d'avoir froid.
Prends un bon bol d'amour bien chaud.
Le Libérateur ne peut nous abandonner.
Alors je te crois.
Séléna, mon amie.
Je n'arrive pas à le comprendre, mais...
Je les ressens.
Tout comme toi.
Sa blancheur.
Sa noblesse.
Cette flamme.
Lu La La, mélodie de la lune... ♫
Liquéfie donc cet endroit.
Et, jusqu'à l'oméga...
… Je profiterai de ces instants à tes côtés... »

- VI (Parce qu'avec ce même raisonnement pourquoi pas jamais trois sans quatre. Et alors...)

Autre histoire, autre fin plus ou moins heureuse, techniquement. Le vide de la suite s'effaça partiellement, grâce à eux, ainsi qu'au côté bienveillant des distorsions, la secrète volonté d'Elise, son idéal bien à elle. Parfait. La station du désormais double Wailord Express avait accompli bien plus que son objectif initial, soit le réveil des cœurs du duo. La tournée était-elle vraiment touristique... Une aventure, touristique... On se le demande, hein... Si cela ne revient point à forger un paradoxe... Vraiment ? Cela va ensemble quelque part ! Avec la mission, et le plaisir inhérent à l'exploration. Alors... Tchou tchou ! Nouveaux paysages à l'horizon ! En avant vers les fonds marins lumineux, chers passagers...




Dernière édition par Rowen le Mer 19 Juil - 10:16, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Toujours... Plus profondément... [Sauvetage / Solo / 2]   Toujours... Plus profondément... [Sauvetage / Solo / 2] - Page 4 EmptyMer 19 Juil - 22:04
Mer Sans Fond  –  Trente-neuvième Etage

Glyphe et Rowen. La paire de la guérison, portant tant d'autres valeurs aussi. L'un de ses membres, toujours inconscient, n'était point disposé à panser de quelconques plaies pour l'instant, cela dit. Le passé, déroulé, fut intégré dans les mémoires. Quelle... Tragédie... De la compassion ainsi que de la gentillesse enveloppèrent le duo du vide. Un cœur s'ouvrit, emportant dans son royaume le Spiritomb, personne d'autre cependant. L'accueil auquel eut droit le spectre blanc fut une salle incomplète sans la moindre présence, et pourtant le Pichu semblait partout, en ces lieux, bien qu'en arrière-plan. Tout comme cette véritable voix. Trouver le remède nécessaire à chacun, parce que... Les voir souffrir... Huh, n'avait juste rien d'agréable... ? Une raison simple, certes. En revanche... Elle faisait office de puissante force motrice. Inutile, que de complexifier pour justifier. Vraiment. Au centre, tournait un flocon aux infinies branches, une fractale, représentant tous les retours au point de départ, l'impossible voyage. L'air été refroidit par cette drôle de machinerie, un peu trop, cela dit. Leur planète allait continuer sa rotation, que celle-ci continue ou non. Ce n'était pas pour autant de quoi s'en vouloir. Tout le monde est dispensable, parce qu'avoir trop d'organes vitaux mettrait la vie en danger, et pourtant, tout le monde était indispensable, apportant ses propres couleurs. Grand dilemme, n'est-ce pas. La lumière était toujours déviée sans traverser la paroi de givre, jamais réfracté. Alors oui, on peut être blanc parce que l'on émet beaucoup de lumière, tout comme on peut être blanc parce que l'on refuse l'entièreté de celle qui nous parvient, un sacrifice qui se noiera dans le long terme. Sur une ligne de pensée similaire.. Le noir prendra tous les éclats, réchauffant ainsi ceux se tenant à ses côtés. Eclat, libère. Le flocon se liquéfia donc, la philosophie de VI appliquée à son amie V, un amusant parallèle, révélant celle emprisonnée au milieu de l'ancienne structure. En blancs pétales la Stalgamin disparut, un effet très spécial, afin de se rejoindre elle-même. Dans le ciel de la pièce, une rocheuse lune, aucun givre en surface. En apparence, aucune tectonique ne donnait à cette allégorie du mouvement, du changement, la « mort ». Entendre le son produit depuis l'autre côté de l'immobile astre était impossible. Peut-être qu'au fond... Ce silence... Etait dû au fait que les signaux étaient récupérés, monopolisés... Gardant l'illusion, la brume empoisonnée, au frais, à jamais. Une science en provenance du monde d'Elise dut être utilisée. Localiser avec ce qui avait été privatisé. Trouvé. Des fissures, des craquelures déchirèrent le cocon légèrement trop étouffant. Un autre parallèle, la philosophie de V appliquée à VI, menant à une intersection perpendiculaire symbole de l'intensité des lieux les unissant. A travers le Jour, certes inexistant, mais à travers la Nuit aussi, parce que paradoxalement c'était leur ennemie , la responsable de tout cela, le meilleur, tout comme le pire. Sans début, malheureux ou pas, une fin , heureuse ou pas, est à proscrire. Toujours l'alpha puis l'oméga, ensemble, inséparables. Les deux étoiles galopèrent, rencontrant leur véritable propriétaire, perdu de vue depuis fort longtemps. Au loin, un compartiment dissimulé. Un Pichu enchaîné, un sourire déjà effondré mais à chaque fois reconstruit sur son visage, une fausse acceptation du fardeau accompagnant son destin. Au niveau de sa poitrine, se trouvait un trou béant, laissant couler en permanence de cette noire substance, ce dangereux désespoir liquide. Glyphe s'approcha doucement, point lentement cependant, son arrivée était tout de même tellement attendue... Crétin, comme l'aurait si bien dit Géraldine. Mais quel formidable crétin, que le Libérateur nommé I(III). Héhéhé. Le troisième éclat se dupliqua, avant de sortir du Spiritomb pour fusionner avec le meneur de Coeur Noble. Aucune chaîne ne fut brisé, non, mais au moins... La solitude de la souffrance fut chassée dans une [ irréalité / idéalité ] plus lointaine encore que la plus nuageuse des utopies. Le cœur fut redonné, complet, enfin, le fruit de la première cohabitation, résonnant avec la graine du sage arbre, éveillant en lui de nouveaux pouvoirs. Les siens, à l'origine. Connexion avec les autres malédictions. Guérison, nouvelle itération, guérison, nouvelle itération... Une éternelle tâche, si effectuée en solitaire. 0, le portail vers la concrétisation du miracle. Des arbres au stade d'embryons faits de possibilités, pour de futurs, certains Libérateurs. IX était heureux, en tant que phare dans la nuit, vers l'approchante aurore. XII, VII, et VIII. Trois derniers éléments, forcément perturbateurs de par l'importance portée par les numéros lettrés dans cette histoire. Et si... Bientôt les faire surgir depuis le dessous du plateau, depuis les abysses de l'ignorance... Hum, peu fairplay comme attaque, non ? L'oiseau pliait déjà ses ailes pour le Jour, alors... Enfin, sécuriser le symbole de Victini restait important, malgré tous les miracles les accompagnant. Réalité physique, réalité psychique, devenez un, pour que vous soyez façonnée par tous, et que plus d'impossibles retombent dans le domaine du possible, sans avoir pour autant à compter sur des capricieux miracles. La coexistence de rêves, tout en restant lucide... L'ultime concept pour parachever l'utopie en construction, à la recherche de ses morceaux restants. Au-delà de tout cet inqualifiable scénario, un échange de sentiments, de pensées, de « poème »...

« La guérison.
On pense réussir à remplir le vide.
A purifier l'esprit de ses toxines.
Et pourtant, et pourtant.
Alors pourquoi...
… Souffre-je toujours... ?
Je suis petit.
On me croit grand.
De taille et d'âme...
Minuscule je me trouve.
Ridicule, bien sûr.
Cette auto-dépréciation.
De la noblesse, n'est-ce pas.
Allez voir Géraldine pour cela.
De la gentillesse, au final.
Glyphe en a des océans.
Un artichaut.
Enlever les feuilles.
Encore, et encore.
Une fractale.
Pour l'éternité.
Au final ?
Pure déception.
Une souris rêvait.
Confondant rêve et vide.
Elle ne connaissait que cela
Alors elle n'imaginait que cela.
Une rune.
De l'écriture.
Merci, Glyphe...
Je ne guérirai point avant l'oméga, mais...
Ce fardeau...
… Est partagé, désormais... »

- I(III) (Le troisième premier Libérateur partiellement libéré.)

Rowen se libéra alors de son long sommeil, prêt à en découdre, surtout des fils rouges de mystère. Ce monde, pour quelques minutes, n'appartenait plus qu'au lumineux duo originellement aux engrenages de leur destin rapprochés grâce au partage de leur cœur, ce cœur blanc, ce cœur noble, héhéhé. Un Babimanta s'écrasa sur les Wailord. Un échange de regards furtifs, juste pour l'importante forme, arrivant à atteindre le fond de l'esprit ainsi que des émotions de l'autre. La lumière portant en partie les attributs de celle d'Arceus fut utilisée afin de refermer les coupures superficielles traversant le frêle corps sur la table d'opération en rien mathématiques. A moins que d'aider ne soit une synergique addition, mais justement, dans ce cas... Un résultat philosophique. La clé de l'anti-entropie. De meilleurs résultats furent obtenus que par rapport à ce jour-là avec Trim. Plus d'expérience, oui, très certainement, mais ce pouvoir avait la faculté d'être exponentiel si utilisé par plusieurs personnes, aussi. La raison à ses émotions que le cœur naïf ignore, échouant à voir plus loin que l'apparente froideur. Avançons. Un ruban, aucune entrave, et pourtant, un précieux lien. Lie un. Parce qu'un nouvel élément est crée lorsque deux être se rencontrent, peu importe qui, peu importe quoi. Cadeau de la lune, des esprits des lacs aussi. L'oiseau à l'habitat sous-marin n'allait peut-être point se réveiller immédiatement, mais en tout cas, ses cauchemars allaient s'effacer, au moins. Les runes polymorphes du livre sacré changèrent leur sens, préférant une boussole à l'aiguille pointant vers le haut, à défaut du trop relatif nord. Parfait, sous le tenace déguisement était... L'histoire du Jour, héhéhé.

« La guérison.
On réussit à chaque fois à remplir un peu plus le vide.
A purifier l'esprit de ses fantômes du passé, certains.
Et pourtant, et pourtant.
Alors pourquoi...
… Souffres-tu toujours... ?
Cette question.
Tu es grand.
Ce cœur atteindra les étoiles.
Malgré ta petite taille.
Oh, Libérateur.
En toi se cache le prochain univers nommé utopie.
Un fragile, minuscule récipient ne saurait la contenir.
Que dois-tu donc en déduire.
Oh, juste que tu as beaucoup de valeur.
Tu m'as donné la mienne.
Celle des autres aussi, par la même occasion.
Ce trône... Est tien.
Apprécie ta galaxie intérieure de compassion.
Oh, un artichaut.
Je les aime en salade.
Enlever les feuilles.
Profiter d'elles une par une.
Et se rendre compte qu'au final...
Le voyage était plus important que la destination.
Cette spirale, cette fractale ascendante.
Un spectre songeait.
Confondant rêve et réalité.
Il ne connaissait que cela.
Un jour, il remarqua la vérité.
Que les deux pouvaient n'être qu'un.
De rien, Rowen.
Je t'apaiserai jusqu'à l'oméga...
Ce fardeau....
... Sera l'ultime contrepoids... »

- IX (… Décrétons alors que jamais quatre n'existe sans cinq, mais qui s'occupera de boucler la boucle de l'infini, dans ce cas... Portail doré.)

Ses blessures disparues, sans la moindre trace de tourment, le Babimanta se réveilla enfin, un autre tour, remerciant ses bienfaiteurs, et puisque aucun temps d'observation n'était jugé nécessaire, le jeune adolescent deuxième du nom s'envola rejoindre ses amis, ou sa famille, voire tous ceux qui tenaient à lui en même temps. Des Rémoraid le soutinrent, menant à force à son heureuse évolution point programmée. Un autre parallèle orthogonal, entre différents chemins tracés par ceux les empruntant. Dans les coulisses, la paire suivante se préparait, sans costume trompeur, sans maquillage non plus. Tels quels. XIII et V ? Ou VI et II(II) ? Qui sait. Une narration avec eux, avec vous. Jusqu'à la guillotine nommée fin. … Raaah, déjà ? Le Wailord Express V2 redémarra, crachant de la vapeur pour s'amuser, allez, approchons nos têtes du bout de métal tranchant, prêt à chuter pour faire couler l'encre... Huhuhu.




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Mer Sans Fond  –  Quarantième Etage

Les avant-derniers. Parfait. Les meilleurs pour l'oméga, peut-être, pouvons-nous imaginer, deviner, en se basant sur un vieil adage populaire. Un autre coffret spectral spirituel, de quoi visionner une énième histoire dans le calme absolu. L'utopie, enfin, s'esquissa devant les yeux sceptiques de Géraldine ainsi que de Xythras. Rejet. Rejeter le rêve accompli, parce que... Cherchons donc à comprendre le pourquoi. Définir deux personnes grâce au concept  représenté en commun. Mais pourquoi comprendre. Le vent mouilla ceux desséchés, n'assouvissant point leur soif pour autant. Etonnant. Nouvelle salve à décoder, ou pas, parce que pourquoi se trouverait-il un sens au début de chaque arbre de causalité, pourquoi en avoir besoin, pourquoi en souffrir parce que dernier est introuvable. Naïfs, ceux qui croient à la preuve des ténèbres. Voir les paysages décorés d'infinie joie, des enfants gambadant allègrement sur l'herbe rendu fraîche grâce à la rosée, sueur nocturne, le résultat serait une partielle mort intérieure. Pourquoi. La beauté de ce monde n'atteignit point le fond inexistant du puits céleste. Amusant, n'est-ce pas. Cette douce folie. A bas cette chaleur. Tout de même accepter ceux incarnant la raison de leur souffrance. La clé vers leur happy end. D'ailleurs... HappY end, plutôt... La lettre d'Yveltal, le croisement de la destinée où aucune erreur ne doit et pourtant peut être commise. S'y cache l'arbre du renouveau, le lance-pierre vers la « mort » aussi... La princesse commandait, un orgueil impitoyable, un joug insoutenable. Son peuple n'en pouvait plus, et s'approchait lentement de sa destruction. Un idéal en elle, mais point le sien. Magnifique, cette panacée, mais cette panacée sans compréhension ne guérira rien. Fouet, menaces, règles, punitions. Impitoyable machinerie. Eliminer les possibilités créera le contrôle. Erreur de raisonnement détectée. Il ne resterait plus rien, dans ce cas, malheureusement. L'idéal qui n'était pas le sien s'était intégré dans son cœur, la rongeant selon son propre libre-arbitre. Tout le monde devait le respecter, alors il fut imposé à encore plus d'innocents. Un dangereux esclavage digne de la Nuit. Au seuil du dilemme, revenir en arrière fut demandé. Toujours aller de l'avant, oui, mais cette fois-ci en s'étant retourné. Le faux alpha à l'horizon étiqueté avenir, alors que rien ne s'y trouvait, un passage déjà emprunté, et vidé de ses connaissances par le passé. La princesse recherchait un joyau, avec lequel compléter sa bague en préparation. Malgré tous les efforts de ses servants, ainsi que des habitants de plus en plus agacés de son royaume, le bijou resta à jamais incomplet. Personne ne s'était interrogé sur ce qui motivait la princesse, s'en tenant exclusivement aux apparences. Le masque n'existait que pour l'observateur peu curieux. Pas la moindre illusion n'avait été jetée, la brume laissait passer les regards de ceux cherchant à en savoir plus, malgré les difficultés de communication, ou plutôt, de transmission. Etait-ce aussi le cas pour l'ensemble de ce Donjon, en fait... Cric cric. Elise acquiesça, verticalement ou horizontalement, laissant planer le doute chez celui ignorant cette faucille lunaire intérieur ? Tranche, tranche, encore une fois, ce qui se dresse entre leur esprit, et le mystère. Demander l'omniscience. Peut-être. Ou pas. Quelque part, oui, quelque part, non. Rowen ne donna que la question binomiale. Le processus devait provenir de celui ne comprenant point, pas régurgité bêtement tout en gâchant l'importance du voyage par la même occasion. La lune de roche était solitaire, ne daignant jamais montrer le moindre sentiment. Pourtant , dans son foyer du crépuscule, des émotions étaient envoyées, même à ceux parfois le blessant de par leur maladresse. Lorsque de l'amour lui était présenté, le silence était sa seule réponse. Dans ses rares phrases en première lecture marquant une complaisance dans son état actuel, se cachaient des pièces du puzzle à la complétion nécessaire pour obtenir d'elle un câlin direct, sans intermédiaire. La princesse et la lune de roche se comprenaient paradoxalement au travers de l'incompréhension. Pourquoi ne les comprenaient-ils pas. Et ce dans les deux sens... Comme quoi, il en existe bien, un sens, et plus que prévu, héhéhé. Qu'importe, ce débat était inutile, tout comme toutes les personnes concernées, n'est-ce pas, ici, dans l'utopie aussi. IX brisa ce mensonge, obtenant la véritable opinion. I(III) rassembla les débris, les remerciant du travail fournis par leur précédente fonction, avant de les laisser redevenir poussière, poussière d'une autrefois invisible étoile... Une barrière, des points de validation, surtout, avant d'obtenir le droit d'admirer le trésor nié. Telle méthode aurait dit de faire ceci. Telle autre méthode aurait conseillé de procéder différemment. Tout en oubliant la partie la plus importante, la partie la plus intéressante aussi, d'un problème, peu importe son origine,  parce que tous ont commencé avec des [ Pourquoi / Insérer votre opinion à ce propos ici]. Le joyau tant désiré brilla alors dans le sac de la princesse, oh, oui, leur premier trésor, cette Nymphézélite, celle portant en elle... Cette couleur-là. Oh... Une étape venait d'être franchie... Au-delà du temps, au-delà de l'espace, de leurs limitations, surtout. [Cette réponse. / Je t'aime, [Moi].] Le ruban de fibres faisait plus que simplement connecter, ou attacher, oui, des informations étaient aussi via lui échangées... De précieuses informations, des nombres ayant du sens, derrière eux, dans un langage refusant de se limiter au binaire.

« Je suis une princesse.
Rowen est mon héros.
Dans ma tour je l'attends.
Avec sa lame d'argent.
Lui me comprend.
Alors lui me délivra.
Stupide.
Ces question-réponses.
J'ai déjà les miennes.
Humpf... Aaah...
Je n'ai besoin que de lui.
Sans destrier, il n'entrera pas.
Il ne viendra jamais avec un.
Cependant, il désire venir.
Que faire, que faire...
Bien sûr que je sais !
Pfff.
Peut-être que...
Peut-être que pour une fois...
Je pourrais chercher à comprendre ce cœur.
Ce cœur noble qui est mien.
Ce cœur noble qui est sien.
Cette mélodie continue.
J'atteins la vérité.
J'atteins le ?
Pour une fois...
Oh, oméga.
Emporte-moi.
Pour que je puisse revivre... »

- I(II) (La princesse avec désormais sa bague achevée...)

Pour que compréhension il y ait, d'autres personnes devaient être présentes. Ainsi, un piège Invocation fut activé, amenant tous les habitants des environs vers leur position via du parfum. Quelle nostalgie... L'écho de la lune accompagna la voix de la diva ailée, comme l'aurait si bien dit l'alchimiste de ce curieux laboratoire. Aucune flagrance perturbatrice, non, toujours plus de compagnons devaient rejoindre le spectacle, l'ultime fête, pour des jours, des nuits entières aussi, mais des nuits blanches, dans ce cas. Le Wailord Express V2 dut faire avec cette charge additionnelle.  Une galerie d'art les acueillit avec plaisir dans l'espace situé entre ses murs, mais point trop près de certaines des œuvres contenues à l'intérieur. Un duo mua en un quatuor. Acoustique, vérifiée. Alors... Déchirer la Nuit avec cette volonté retrouvée, renouvelée. Palam palam palalam. Peow peow pitipow. Sfelis sfelis andrasfelias. Leurs onomatopées bien à eux, celles qu'ils avaient choisi, sans que cela ne vienne d'une quelconque pression extérieure. Dehors n'est jamais soi, mais quelqu'un pourra toujours apporter son chez-lui là-bas, si il en a envie... Huh. L'ultime instrument que la Charmillon ne saurait jamais manier, peu importe ses efforts, ses désirs de. La voix plus cristalline encore que celle d'un Altaria de la Fluvetin. Déposées par des soucoupes, les aliens Pokémon de l'alpha de cette aventure, cette fois-ci rencontrés dans de meilleures conditions, et ce, de loin, très très loin. L'oracle vint aussi, discret cela dit, profiter de ce bonheur, la graine que lui avait protégé depuis tout ce temps, pour le compte de sa Dame, le sien compris. Du verre ? En mille morceaux, héhéhé, désormais. Quel travail de reconstruction de fenêtres cela promettait d'être, pour les employés, pfiou, incroyable ne serait-ce qu'à l'état d'idée...

« Je suis un joyau.
Un joyau dont personne ne veut.
Dans un rocher, encore j'attends.
Une délicate pioche est nécessaire.
Cette extraction ne sera jamais un succès.
Personne ne me comprend.
Enfin, si Séléna.
Le vide disparaît.
Je dois aussi traverser cette épreuve.
Pour moi, pour toi, pour nous...
Ces questions...
J'ai déjà leurs réponses.
Et pourtant je continue ce jeu.
J'y perdrai forcément.
L'échiquier doit être anéanti.
En tant que pion je ne peux rien faire.
Oh, oui.
Aller de l'avant.
Changer mon rôle.
Risquer de me faire dévorer.
Aussi, j'imagine.
Peut-être que...
Je refuse.
D'incarner cela.
Huhuhu.
Cette mélodie résonne, effectivement.
Même aujourd'hui, je l'entends.
Oméga. Je jure encore en ton ton nom.
Un serment.
Mon dernier, tout du moins.
Nous l'aurons tous, cette happY end... »

- VI (… Séléna, Elizhtraëlle, c'est à vous... S'il-vous-plaît, votre concept.)

Peut-être que...  La nuit n'est point la Nuit. Peut-être que... Les deux, malgré la véracité du postulat précédents, ne forment au final qu'une unique entité. Peut-être... La Libération leur permettra de retrouver ce stade perdu. Porteur de Ténèbres. Ton rôle ne ser peut-être jamais dévoilé, en revanche, ton héros, ou plutôt, tes héros se souviendront de toi ainsi que de ta grandeur, malgré ton auto-dépréciation qui te force à rejeter tout le mérité sur tes alliés. Mais qui leur a permis de combattre. Qui leur a donné les pouvoirs nécessaire afin d'empêcher que toute goutte de sang soit versée. Et surtout... Qui m'a... Montré l'importance de cette vie, de cette « mort »... A moi ton Oracle, pièce sans numéro de ce plateau d'argent. Bienvenue. Toi qui cherche à comprendre. Me comprendras-tu, moi aussi ? Je suis un simple Germignon chromatique... Oracle. Celui qui doit tout retranscrire pour que l'utopie jamais n'oublie les sacrifices acceptés pour sa formation. Alors... Si tu lis cela... Cela ne peut signifier qu'une seule chose. L'utopie est. Oui ! L'utopie est ! Je ne peux m'empêcher de contenir un rire. Attendre des siècles, et... Ahaha, tu gonfles mon cœur végétal de bonheur, alors, merci... Avec moi à son bord, de nombreux passages plus nombreux qu'au dernier étage aussi, l'aventure... Continua.




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MessageSujet: Re: Toujours... Plus profondément... [Sauvetage / Solo / 2]   Toujours... Plus profondément... [Sauvetage / Solo / 2] - Page 4 EmptyJeu 20 Juil - 22:29
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MessageSujet: Re: Toujours... Plus profondément... [Sauvetage / Solo / 2]   Toujours... Plus profondément... [Sauvetage / Solo / 2] - Page 4 EmptyVen 21 Juil - 21:44
Mer Sans Fond  –  Quarante-et-unième Etage

Des tempêtes jumelles errantes, échouant à retrouver l'autre, ce de feu, maternelle, cherchant à réconforter l'enfant de l'hiver privé de cette si douce chaleur. La fuite de l'Osselait métaphorique était tout aussi paradoxale que les précédentes constructions psychologiques, et pourtant, les flocons continuaient de tourner, emportés par le puissant vent prêt à geler même le temps. Les cendres réussirent à toujours continuer de se consulter de plus belle, un combustible éternel. Chocolat, oui, du chocolat, venant délicatement s'abattre dans  le système digestif creux, inexistant, de la Momartik, glissant lentement, doucement, apportant une brève sensation de bonheur artificiel. O, Motisma-Four, que vos pâtisseries la remplissent de manière plus durable, avant d'être chimiquement décomposées, même dans l'organisme d'un spectre. … Echouez misérablement dans le lointain horizon infini, parce que cet estomac ne saurait produire son propre plein... Des calories, oui, des nutriments ainsi que des vitamines aussi, mais à part cela... Aucune émotion, malheureusement. Connaissant cette torture dont la faute ne revenait à personne, l'Evoli de la Cryozélite s'élança de toute son ardeur dans le « nostalgique » blizzard, refusant de se faire balayer par ce dernier, à la recherche de l'enfant égaré, son égal. Le passé fut visionné. La rivière dorée fut complétée, enfin, une seul clé manquait... Celle de la Sorcière. Une magie aussi blanche que ce rideau en apparence, mais tellement différent en coulisse. Le désir d'avoir une maman. Un désir... En cachant d'autres. Celui d'avoir quelqu'un sur qui compter ? D'avoir quelqu'un à aimer, et dont être aimé ? Voire d'être protéger de la froideur du monde extérieur ? Est-ce seulement attrapable, pour quelqu'un n'ayant rien expérimenté en lien avec ces ressentis. Bien sûr que oui. Ne pas oublier les précédents concepts lorsque de nouveaux apparaissent. En bois, non, la maison se fit souffler. En pierre, non, un nouvel échec, le résultat identique. En brique... ? Idem, ahaha. Même mes feuilles n'auraient pu lui bâtir cet endroit, celui à laquelle l'ouragan de givre aspirait depuis son alpha. Sans la chaleur, aucun bêta, cependant, et donc point le moindre oméga utopique. Croisez-vous, cœurs de l'autre côté du miroir. Avec ses trois matériaux, Séléna réussit à accomplir l'objectif permettant d'enfin retrouver sa joie perdue, certes en partie grâce à  l'aide de IX ainsi que I(III), mais surtout grâce à elle-même, XIII ayant été la dernière pièce de son puzzle. Le matériau, quel inutile débat. En revanche, le lieu... Les tempêtes jumelles, elles ne formèrent plus qu'une, tout comme dans le conte tant aimé par l'Evoli. Une sphère sans frontière. III s'invita dans la demeure. Moi aussi. La mienne étant morte, huh... Une famille. Des liens transcendants, forcément chaleureux, peut-être parfois assombris, mais pour un temps seulement, espérons ? Si un nouvel élément est créé lorsque deux êtres se rencontrent, peu importe qui, peu importe quoi, alors cela implique que lorsque plus de deux êtres se rencontres, encore plus naît, en quantité ainsi qu'en merveilleux. Toc toc. Qui était donc à la porte grande ouverte. I(II). Entre, entre, papillon briseur de chaînes nocturnes.  Toc toc. Ooooh ! Un autre mystère, une autre boîte à Flamiaou prête à être ouverte sans risque de cadavre... Héhéhé ? XI en retard, suivi de II(II), patte dans l'aile avec son I(III) adoré. Ensuite, dans l'ordre, V, IX, le Wailord Express V2 qui n'eut point la moindre difficulté pour rentrer, et pour finir les spectateurs. La famille du Libérateur devenu plusieurs après que les graines aient été semées, tous ses membres réunis, pour un somptueux banquet. Boissons, hors d'oeuvre, plats de résistances, que de quoi remplir de faux le tout aussi faux vide, désormais. La Momartik se rapprochant tricotait d'autres vêtements pour l'Evoli autrefois nommé Weiss, un nom perdu à travers les âges, les dimensions aussi. Lui n'avait point connu la tragique fin... Certes, il n'avait tout de même pas d'âme, mais... Si, quelque part, avec eux, en ce lieu. Kyuremite. Lunalite. L'intersection fut oubliée, puis retrouvée. Deux maladies, deux malédictions, deux origines. La seconde correspondant à l'immense fardeau spectrale nocturne. Un Absol ainsi qu'un Voltali entrèrent, le câlin tant attendu à travers les dimensions, néant compris, fut alors enfin partagé. Celui qui avait toujours froid. Celui qui a toujours froid. Celui qui aura toujours froid. Quels mensonges tout de même, avec la réécriture d'un vain fragment de l'histoire. … Peut-être en suis-je responsable, d'ailleurs... Oups, une tâche d'encre pirate, créant un nouveau mystère. Même dans l'adversité... Même dans la haine... Même dans la séparation... Ce groupe-là devrait savoir rester, survivre, sinon, l'espoir ne pouvait alors que choisir de mourir, en silence, avec la réalité toute entière, emportée par les absolues ténèbres engouffrantes. Tout aurait dû s'achever ici-même, et pourtant avec le nombre d'étages restant... Comment continuer ce qui n'est plus censé l'être... ? Avec une inutile discorde prétendue, jamais. Alors... Dans cas... Je vais joindre l'action. Je vais briser, quelque part, les limites du rôle qui m'a été confié. Pour quoi faire, bien sûr. Leur révéler un peu plus. Ou pas. A l'aide d'étranges formulations, d'images aussi. Essayons. Ca devrait aller. Je peux le faire. Je me lève de mon fauteuil, avant de prendre une voix sérieuse, de quelqu'un ayant traversé mille-et-uns Donjon. Quel beau jeu d'acteur, je n'ai point besoin de faire semblant. Soit, commençons... « Je m'appelle Oracle, le justement oracle de 0. Son identité est infinie. Elle invite le capricieux astre tout là-haut chaque jour sans faillir, enfin, presque. Elle est X, et pourtant, elle ne l'est pas. Il y a longtemps, la promesse de la Libération a été forgée. Pourtant, les seuls qui s'en souviennent sont peu nombreux, hors de certaines considérations. A la Source Lumineuse, se trouve un Grimoire. Dans ce Grimoire, est renfermé les restes de I(I) ainsi que de son époque oubliée. Si il avait été caché dans un Donjon, on l'aurait forcément retrouvé, mais là-bas... Il est cependant scellé. Pour que le Jour ne puisse être complété. Alors je vous en prie, héros. Brisez ce sceau, et redonnez à votre prédécesseur ainsi qu'à votre ennemi sa liberté, pour que le combat presque final puisse avoir lieu... » Dis-je avant de disparaître en apparence en pétales d'arbre en fleur.

« Cette chaleur, enfin.
C'est ce que je me murmure à chaque fois.
Mais... Quelque part...
N'est-elle pas le responsable de mon mal ?
A cause de sa cruelle absence.
Je cherche à l'obtenir.
Je réussis à la ressentir.
Puis elle file, ingrate.
Je n'en peux plus.
Et j'ai besoin d'un Wattouat émissaire.
Alors désolé, douce émotion...
Pardonne-moi de t'accuser de mon crime.
Cet Evoli est tenace, pour recevoir ma haine.
Amusant, je n'en demandais pas autant.
J'imagine que je dois te remercier.
Avec elle, disparais...
Par pitié.
Ma dernière épreuve.
Etais-je vraiment censée la remporter...
« Oui », me dit-il.
Que sait-il de moi, rien ?
Ou suis-je la parfaite ignorante de nous deux...
Qu'importe, jetons tout, j'abandonne.
Désolé, Xythras, l'ami qui croyait en la lune sans miracle.
Je vais m'arrêter avant que n'arrive l'oméga... »

- V (Le givre lunaire, mélancolique...)

Bien évidemment, ce poème-là était un écho provenant d'avant la construction de cet utopique foyer. 0 finit d'ailleurs par s'y inviter, en ayant parfaitement le droit, quelques-uns seulement réussissant à ressentir sa présence. Ces « quelques-uns », les plus importantes pièces de l'histoire. Même si au final elles l'étaient toutes, héhéhé. Point maîtrisées, cependant... Rowen réussit, après avoir écouté mon récit en souriant comme unique réaction, à glisser de par sa malchance, renversons le gâteau sur la Fluvetin. Oho. Vengeance parfumée ! Ainsi on obtint le premier Pichu sentant le Miaouss au monde, quelle ironie, le prédateur avec le prédaté. Fuis, casse-croûte en devenir, fuis pour participer au jeu ! La meneuse de Lune de Givre s'amusa de son côté à surprendre tout en veillant à ne pas les effrayer les anciens passagers du Wailord Express V2. Glyphe permit à IV, de son côté, d'aller « le » rejoindre, son fils, dans un merveilleux câlin, certes, encore. Puis, Elizhtraëlle donna une armure de ses flammes à chaque habitant, les yeux fermés, en larmes de joie, avant de retourner près de la cheminée, là où se trouvait III ainsi que l'Evoli à l'histoire déjà achevée. Bonne nuit...

« Je suis cette chaleur.
Permettez-moi de mettre fin à vos souffrances
Je suis toujours avec vous, ressentie, ou pas.
C'est ce que je me murmure à chaque fois.
J'apporte le réconfort, le soutien aussi.
Si vous désirez être seul, je vous laisserai seul.
Je ne peux qu'en de rares occasions..
… Aller à l'encontre de ces obligations.
Je vous aime malgré tout, vos erreurs, vos apprentissages.
N'essayez pas de chassez. Puisque je suis déjà là.
Je reflète peut-être sur les parois, sprintant.
Dans ce cas... Faites que ce soit les parois qui m'attrapent.
Je suis peut-être plus profondément dans votre cœur.
Dans ce cas... Faites que ce soi moi qui ressurgisse à la surface.
Je chante, de l'instrument je joue, je peins aussi.
Avec ma blanche magie, rien ne m'est impossible.
Toutefois, je ne suis en mesure de forcer un changement en vous.
En remplissant ce vide, si vous désirez le conserver.
Par-delà l'espoir, par-delà le désespoir, la réalité rêvée.
Dépassez ce que vous connaissez, pour l'atteindre.
Weiss, Rowen, continuons de les aider, de croire en eux.
La lune de givre désormais diurne, miraculeuse.
La lune de roche, un gisement secret de rêves.
La princesse qui rêvait de joyaux, d'un héros.
La souris qui rêvait de moutons électriques.
Le foyer continuant de tourner, d'accepter.
La musicienne délivrée, libérée.
Et le peintre du pacte...
Encore une fois, tous ensemble.
Ce n'est point une vaine répétition.
Pour y croire véritablement, cela est nécessaire.
Je déclare l'oméga arrivé pour cette fois...
Bravo, plus tôt que prévu.
Vous êtes formidables.
Merci... De m'avoir acceptée à vos côtés...»

- XIII (Soyeux heureux, s'il-vous plaît, à jamais.)

Le foyer, le Wailord Express VZ. Toujours, plus, profondément. Cependant, les abysses à l'horizon vertical étaient accueillantes, de loin, très certainement de près aussi. Ω, tu ne peux plus opposer la moindre résistance à cette électricité débordante. Très bien. La dernière loi, au prochain étage. Celle apportant les récompenses cette suite infinie plus si infinie qu'elle ne semblait l'être à l'alpha du tout-début.. L'aurore était déjà présente, avançant à son rythme, celui de sa mélodie. Peut-être devrions-nous la nommer avec une majuscule. Mais qu'importe le principal est ce qui suivait. Le Jour. En avant, finissons ce qui doit pouvoir continuer autrement, oui, encore une fois, la si précieuse aventure....




Dernière édition par Rowen le Sam 22 Juil - 9:49, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Toujours... Plus profondément... [Sauvetage / Solo / 2]   Toujours... Plus profondément... [Sauvetage / Solo / 2] - Page 4 EmptyVen 21 Juil - 21:44
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